Le jour où j’ai vu le tarot de Marseille pour la première fois (et pourquoi cette image ne m’a jamais quitté)

Souvenirs d'enfance : le jour où j'ai découvert le tarot de Marseille chez ma grand-mère. Comment trois cartes ont marqué ma vie de voyant pour toujours.

Pierre Lemestre

12/18/202515 min read

Femme âgée et enfant découvrant le tarot de Marseille dans une cuisine de ferme années 70
Femme âgée et enfant découvrant le tarot de Marseille dans une cuisine de ferme années 70

J'avais huit ans, peut-être neuf. C'était l'été, en juillet, à la ferme de ma grand-mère en Bretagne. Une de ces journées où la chaleur vous colle à la peau dès le matin, où même les mouches semblent fatiguées de voler. Je me souviens de l'odeur — un mélange de foin coupé, de terre sèche et de cette senteur particulière des vieilles pierres chauffées par le soleil.

Ma grand-mère était dans la cuisine, en train de préparer une tarte aux pommes. Moi, j'étais censé aller chercher des œufs au poulailler, mais je traînais, comme souvent. C'est à ce moment-là que Madame Josiane est arrivée. La voisine du bout du chemin. Une femme d'une soixantaine d'années, toujours habillée de noir, avec un foulard noué sous le menton même en plein été.

Elle portait quelque chose dans les mains. Une boîte en bois, pas très grande, usée par le temps. Je me suis approché, curieux. Ma grand-mère a tout de suite compris pourquoi elle venait. « Entre, Josiane. Je vais faire du café. » Un ton qui n'invitait pas à la discussion. Puis, en se tournant vers moi : « Toi, tu restes tranquille. Et tu ne touches à rien. »

Je ne savais pas encore que j'allais assister à mon premier tirage de tarot de Marseille. Je ne savais même pas ce que c'était, le tarot. Mais quelque chose dans l'atmosphère avait changé. Un silence particulier s'était installé, différent du silence habituel de la ferme. Un silence qui attendait quelque chose.

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Tirage de tarot de Marseille : la première fois que j'ai vu ces images étranges

Des cartes comme je n'en avais jamais vu

Madame Josiane a ouvert la boîte. Dedans, il y avait des cartes. Pas des cartes à jouer normales. Celles-là étaient différentes. Plus grandes. Plus épaisses. Et surtout, les images dessus... les images me fascinaient et m'effrayaient en même temps.

Je me souviens de la première que j'ai aperçue. Une femme assise, en robe bleue, avec quelque chose sur la tête qui ressemblait à une couronne. Elle tenait un livre ouvert sur ses genoux, et il y avait comme un voile derrière elle. Ses yeux me regardaient, même si elle ne me regardait pas vraiment. C'était troublant. J'apprendrais bien plus tard qu'il s'agissait de la Papesse, l'arcane numéro 2 du tarot de Marseille, mais à l'époque, c'était juste "la dame avec le livre".

Ma grand-mère a posé deux tasses de café sur la table en bois de la cuisine. Madame Josiane a commencé à mélanger les cartes. Ses mains bougeaient avec une assurance tranquille, comme si elles connaissaient chaque carte par cœur. Le bruit des cartes qui glissaient les unes contre les autres, ce frottement du carton épais, c'était presque hypnotique.

« C'est pour la petite ? » a demandé ma grand-mère en baissant la voix.

« Oui. Elle ne sait pas quoi faire. Elle a peur. »

Je ne comprenais pas de qui elles parlaient. Une petite-fille de Madame Josiane ? Une voisine ? Mais j'écoutais, silencieux dans mon coin, assis sur le banc près de la fenêtre. Mon grand-père m'avait toujours dit : « Quand les adultes parlent de choses importantes, tu te tais et tu écoutes. C'est comme ça qu'on apprend. »

Le silence pendant le tirage : ce moment suspendu dans le temps

Madame Josiane a étalé les cartes face cachée sur la table. Elle en a choisi quelques-unes. Trois, pour être précis. Elle les a retournées lentement, une par une. À chaque carte qui se révélait, son visage changeait légèrement. Pas de grands mouvements, juste un plissement des yeux, un léger froncement de sourcils, parfois un presque-sourire.

La première carte montrait un homme pendu par un pied à une poutre. Il avait les mains attachées dans le dos et il souriait. Ça m'avait choqué. Pourquoi un homme attaché et pendu souriait-il ? C'était le Pendu, l'arcane 12, mais je ne le savais pas. Pour moi, c'était juste "l'homme à l'envers qui sourit bizarrement".

La deuxième carte, je m'en souviens comme si c'était hier. Un squelette. Un squelette avec une faux. Il marchait dans un champ où poussaient des têtes, des mains, des pieds. J'ai senti mon cœur battre plus fort. J'avais peur, mais je ne pouvais pas détourner le regard. Ma grand-mère a dû sentir mon malaise parce qu'elle a posé sa main sur mon épaule. « C'est pas ce que tu crois, » m'a-t-elle chuchoté. Mais qu'est-ce que je croyais ? Je ne savais même pas.

C'était l'arcane sans nom. L'arcane XIII. La carte que tout le monde appelle la Mort, mais qui n'a pas de nom sur le tarot de Marseille. À huit ans, je ne pouvais pas comprendre que cette carte ne parlait pas forcément de mort physique, mais de transformation, de fin de cycle, de renaissance. Je voyais juste un squelette avec une faux, et ça me terrifiait.

La troisième carte montrait un soleil qui brillait fort, avec des rayons tout autour. En dessous, il y avait deux enfants qui se tenaient la main. Ou peut-être deux adultes ? Je ne savais plus trop. Cette carte-là, au moins, elle ne me faisait pas peur. Elle était lumineuse. Chaude. C'était le Soleil, l'arcane XIX, symbole de clarté et de joie dans le tarot de Marseille.

Pendant tout le temps du tirage, personne n'a parlé. Madame Josiane regardait les cartes, puis regardait ma grand-mère. Ma grand-mère regardait les cartes, puis regardait Madame Josiane. Elles communiquaient sans mots, comme si elles savaient lire quelque chose d'invisible pour moi. Un langage secret que seules elles comprenaient.

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Apprendre le tarot de Marseille : ma redécouverte vingt ans plus tard

À vingt ans, le choc de reconnaissance dans une librairie

Les années ont passé. J'ai grandi. J'ai quitté la Bretagne. J'ai presque oublié cette scène dans la cuisine de ma grand-mère. Presque. Parce que les images restaient là, quelque part dans un coin de ma mémoire, floues mais présentes.

J'avais vingt ans. J'étais étudiant à Rennes. Un jour de novembre — encore l'automne, comme si les cycles se répétaient — je suis entré dans une librairie ésotérique. Je ne cherchais rien de particulier. J'étais juste curieux. C'était une petite boutique rue Saint-Malo, avec cette odeur d'encens et de vieux livres qui vous prend à la gorge dès l'entrée.

Et là, sur un présentoir, je les ai vues.

Les cartes.

Mon cœur s'est arrêté une seconde. C'était elles. Les mêmes images. La femme au livre. L'homme pendu qui sourit. Le squelette avec la faux. Le soleil lumineux. Tout était là, exactement comme dans mon souvenir d'enfant.

« Tarot de Marseille », disait l'étiquette sur la boîte. Je l'ai prise dans mes mains. Elle était lourde. Solide. J'ai ouvert la boîte, et j'ai sorti les cartes une par une. Mes doigts tremblaient légèrement.

La Papesse. Le Pendu. L'Arcane Sans Nom. Le Soleil. Toutes les cartes que j'avais vues enfant étaient là, avec leurs noms et leurs numéros. J'ai découvert qu'il y avait 78 cartes au total : 22 arcanes majeurs (les grandes cartes symboliques) et 56 arcanes mineurs (les cartes plus "ordinaires"). Mais ce qui m'a le plus frappé, c'est que je me souvenais des détails. La couleur exacte de la robe de la Papesse. L'angle de la faux du squelette. Les rayons du soleil.

Comment pouvait-on se souvenir si précisément de quelque chose vu une seule fois, douze ans plus tôt ?

Les trois lames inoubliables : pourquoi elles m'avaient marqué

Je suis rentré chez moi avec le jeu de tarot de Marseille. Je l'ai posé sur ma table, et je suis resté longtemps à le regarder. J'ai commencé à lire sur le tarot. À comprendre ce que ma grand-mère et Madame Josiane faisaient ce jour-là dans la cuisine.

Un tirage. Une consultation. Une lecture des énergies, des chemins possibles, des messages cachés.

J'ai appris que le tarot de Marseille était un outil de divination ancestral, mais aussi un miroir de l'âme. Que chaque arcane majeur représentait une étape du voyage humain, du Mat (le fou, l'arcane 0) jusqu'au Monde (la complétude, l'arcane XXI). Que les couleurs, les symboles, les positions des personnages — tout avait un sens.

La Papesse, que j'avais vue en premier, c'était la connaissance intérieure. L'intuition. Le savoir caché. Pas étonnant que cette carte ouvre souvent les tirages de tarot liés aux questions spirituelles.

Le Pendu, l'homme à l'envers qui m'avait tant intrigué, ce n'était pas une punition. C'était un changement de perspective. Le lâcher-prise. Le sacrifice nécessaire pour voir les choses autrement. Voilà pourquoi il souriait. Il avait compris quelque chose que les autres ne voyaient pas.

Et l'Arcane Sans Nom, le squelette qui me terrifiait... Ce n'était pas la mort physique. C'était la transformation. La fin d'un cycle pour en commencer un autre. La peau qui tombe pour laisser place au nouveau. Dans le tarot de Marseille, cette carte annonce souvent des changements profonds, parfois douloureux, mais toujours nécessaires.

Ces trois cartes, Madame Josiane les avait tirées ce jour-là pour quelqu'un qui avait peur de faire un choix. Qui avait peur de lâcher l'ancien pour accueillir le nouveau. Les cartes lui disaient : « Écoute ton intuition (la Papesse). Change de perspective (le Pendu). Accepte la transformation (l'Arcane XIII). Et après tout ça, le soleil brillera à nouveau. »

Vingt ans plus tard, je comprenais enfin ce langage silencieux.

Lire le tarot aujourd'hui : ce que ces deux femmes m'ont transmis sans le savoir

Aujourd'hui quand je fais un tirage pour une consultante

Aujourd'hui, je suis voyant. Je fais des consultations par email, principalement. Les gens m'écrivent avec leurs questions, leurs doutes, leurs peurs. Et quand je dois faire un tirage de tarot de Marseille pour eux, je repense toujours à cette scène dans la cuisine de ma grand-mère.

Je prends mon jeu. Le même que j'ai acheté à vingt ans. Les cartes sont usées maintenant. Les coins sont arrondis. Certaines ont des petites taches. Mais elles me parlent. Chaque carte porte l'empreinte des centaines de tirages que j'ai faits.

Avant de commencer, je fais exactement ce que Madame Josiane faisait : je mélange les cartes lentement, avec attention. Je me concentre sur la question de la personne. Je laisse mes mains trouver les cartes qui doivent être tirées. Je ne force rien. Je ne cherche pas à obtenir un résultat particulier. Je laisse le tarot parler.

Et souvent, les mêmes cartes reviennent. La Papesse quand quelqu'un a besoin d'écouter son intuition. Le Pendu quand il faut lâcher prise. L'Arcane XIII quand une transformation profonde est en cours. Le Soleil quand la clarté arrive après une période sombre.

Ce que ma grand-mère et Madame Josiane m'ont transmis sans le savoir, c'est que le tarot de Marseille n'est pas un outil de magie noire ou de prédiction absolue. C'est un miroir. Un moyen de voir ce qu'on sait déjà, au fond, mais qu'on n'ose pas regarder en face.

Quand je fais un tirage, je ne dis pas « voici ce qui va arriver ». Je dis « voici ce que les cartes montrent maintenant. Voici les énergies en présence. Voici les chemins possibles. » Le tarot propose. La personne dispose. C'est elle qui choisit, finalement, ce qu'elle fera de cette lecture.

Si vous voulez en savoir plus sur la signification des arcanes majeurs et comment les interpréter dans vos propres tirages, vous pouvez consulter mon article détaillé Les 22 Arcanes Majeurs du Tarot de Marseille : Signification et Interprétation Complète.

Ce silence qu'elles gardaient : la leçon la plus importante

Ce qui m'a le plus marqué dans cette scène d'enfance, ce n'était pas les images des cartes. C'était le silence.

Ma grand-mère et Madame Josiane ne parlaient presque pas pendant le tirage. Elles ne commentaient pas chaque carte au fur et à mesure. Elles les laissaient se révéler. Elles prenaient le temps de regarder l'ensemble du tirage avant de dire quoi que ce soit. Et même après, leurs paroles étaient mesurées, douces, bienveillantes.

J'ai compris, des années plus tard, que c'était ça la vraie lecture du tarot. Pas un flot de paroles impressionnantes pour épater. Pas des prédictions dramatiques pour effrayer. Juste une attention calme. Une écoute profonde. Une guidance humble.

Aujourd'hui, quand je fais des consultations de tarot par email, j'applique cette leçon. Je ne me précipite pas. Je prends le temps de vraiment regarder les cartes. De sentir ce qu'elles disent ensemble, pas seulement individuellement. De laisser l'intuition travailler.

Et je refuse de jouer les gourous mystiques qui prétendent tout savoir. Je suis juste quelqu'un qui a appris à lire le tarot de Marseille. Quelqu'un qui a été initié, sans le savoir, par deux femmes dans une cuisine bretonne, un jour d'été de mon enfance.

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Pourquoi je commence toujours mes tirages comme elles

Il y a quelques années, j'ai retrouvé des photos de ma grand-mère. Sur l'une d'elles, prise l'année de mes huit ans, on voit la cuisine de la ferme. La table en bois. La fenêtre avec les rideaux à carreaux. Le banc où j'étais assis ce jour-là.

J'ai montré la photo à ma mère. « Tu te souviens de Madame Josiane ? » lui ai-je demandé.

« Bien sûr. La voisine qui lisait le tarot. Elle est morte il y a longtemps maintenant. C'était une bonne femme. Toujours prête à aider les gens. Ta grand-mère l'aimait beaucoup. »

« Elle faisait souvent des tirages ? »

« Ah oui, tout le temps. Les gens venaient de loin pour la consulter. Elle avait un don, comme on dit. Mais elle ne se prenait pas au sérieux. Elle disait toujours : 'Les cartes montrent. Après, chacun fait comme il veut.' »

Cette phrase m'a touché. Parce que c'est exactement ma philosophie aujourd'hui. Le tarot de Marseille n'est pas une prison. Ce n'est pas une prédiction figée qui vous enferme dans un destin. C'est une boussole. Un éclairage. Un outil pour mieux se comprendre et mieux choisir.

Quand je commence un tirage maintenant, je fais toujours la même chose : je mélange les cartes lentement, avec la même attention que Madame Josiane. Je laisse mes mains trouver les bonnes cartes. Je les pose face cachée d'abord. Et je les retourne une par une, avec respect.

Pas parce que c'est un rituel obligatoire. Mais parce que ce geste crée un espace. Un moment suspendu où tout devient possible. Un silence où la vérité peut émerger.

C'est ce que ces deux femmes m'ont appris, sans me donner de leçon. Par leur simple façon d'être. Par leur silence attentif. Par leur bienveillance.

Et aujourd'hui, quand une consultante m'écrit pour me demander un tirage de tarot de Marseille, je sais que je ne fais pas juste un « travail ». Je perpétue quelque chose. Une transmission. Un savoir-faire ancestral qui passe par les gestes, par le silence, par l'attention portée aux cartes et à la personne qui les consulte.

Pour comprendre comment le tarot peut vous guider dans vos choix amoureux, n'hésitez pas à lire mon article : Consultation Voyance par Email : Comment le Tarot Éclaire Vos Relations Amoureuses.

Ce soir, alors que j'écris ces lignes, mon jeu de tarot de Marseille est posé à côté de moi sur le bureau. Les cartes sont là, silencieuses, comme elles l'ont toujours été. Elles attendent. Elles ne forcent rien. Elles se contentent d'être disponibles pour qui veut bien les écouter.

Je repense parfois à ce petit garçon de huit ans, assis sur un banc de cuisine, fasciné et effrayé par ces images étranges. Il ne savait pas qu'un jour, il passerait des heures à étudier ces cartes. Qu'il apprendrait leur langage. Qu'il les utiliserait pour aider d'autres personnes à y voir plus clair.

Il ne savait pas que ces trois cartes — la Papesse, le Pendu, l'Arcane Sans Nom — deviendraient ses cartes guides. Celles qui reviennent le plus souvent dans ses tirages. Celles qui lui parlent le plus fort.

Et vous ? Quelles sont les images qui vous ont marqué dans votre vie ? Les rencontres qui vous ont transformé sans que vous vous en rendiez compte sur le moment ? Peut-être qu'un jour, vous aussi vous redécouvrirez quelque chose d'important, caché dans un souvenir d'enfance.

Le tarot de Marseille a cette étrange capacité à réveiller les mémoires. À nous reconnecter à ce que nous avons toujours su, quelque part, sans vraiment le savoir.

Le tarot peut réveiller des choses importantes en vous. Des intuitions. Des réponses que vous cherchez.

Si vous sentez l'appel à explorer ce que les cartes ont à vous dire, je suis là pour vous accompagner avec douceur et clarté.

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Questions fréquentes sur le tarot de Marseille

Comment apprendre le tarot de Marseille quand on débute ?

Le tarot de Marseille s'apprend progressivement. Commencez par vous familiariser avec les 22 arcanes majeurs — ce sont les cartes les plus symboliques et les plus parlantes. Regardez-les longuement, laissez-les vous raconter leur histoire avant de lire leur signification « officielle ». L'intuition est votre meilleur guide au début.

Peut-on faire un tirage de tarot pour soi-même ?

Oui, absolument. Beaucoup de gens apprennent le tarot en le pratiquant sur eux-mêmes. La seule difficulté est de rester objectif — quand on est trop impliqué émotionnellement, il peut être difficile d'interpréter les cartes avec clarté. Dans ce cas, faire appel à quelqu'un d'extérieur peut être utile.

Quelle est la différence entre le tarot de Marseille et les autres tarots ?

Le tarot de Marseille est le plus ancien et le plus traditionnel des jeux de tarot. Il se distingue par son esthétique particulière, ses couleurs vives (rouge, bleu, jaune principalement) et sa symbolique très riche. D'autres tarots comme le Rider-Waite sont plus récents et ont des images différentes.

Faut-il un don pour lire le tarot de Marseille ?

Non, pas nécessairement un « don » au sens mystique. Ce qu'il faut surtout, c'est de l'intuition, de l'empathie, et beaucoup de pratique. Apprendre à lire le tarot demande du temps et de l'attention, comme apprendre une langue étrangère. Certaines personnes sont naturellement plus douées, mais tout le monde peut progresser.

Combien de cartes tirer pour un tirage de tarot ?

Cela dépend de votre question et de votre niveau. Les débutants peuvent commencer par un tirage à 1 carte (pour une question simple), puis passer à 3 cartes (passé-présent-avenir), et progresser vers des tirages plus complexes comme le tirage en croix (5 cartes) ou le tirage en fer à cheval (7 cartes).

Le tarot de Marseille peut-il prédire l'avenir ?

Le tarot montre des tendances, des énergies en présence, des chemins possibles. Il ne prédit pas un avenir fixe et immuable. Les cartes éclairent une situation, révèlent des aspects cachés, proposent des perspectives. Mais c'est toujours la personne qui décide de ses choix et donc de son futur.

Comment choisir son premier jeu de tarot de Marseille ?

Choisissez un jeu qui vous attire visuellement. Les versions classiques (comme le Camoin-Jodorowsky ou le Conver) sont excellentes pour débuter. L'important est que vous vous sentiez connecté aux images. Prenez le temps de regarder plusieurs jeux avant de choisir.

Peut-on consulter le tarot pour quelqu'un d'autre sans sa permission ?

D'un point de vue éthique, il est préférable d'avoir le consentement de la personne. Faire un tirage « dans son dos » pose des questions de respect et d'intention. Si vous voulez vraiment aider quelqu'un, mieux vaut lui proposer ouvertement une lecture plutôt que de la faire en secret.

Combien de temps faut-il pour apprendre à lire le tarot de Marseille ?

Les bases peuvent être acquises en quelques mois de pratique régulière. Mais la maîtrise profonde du tarot est un chemin de plusieurs années. Même après des décennies de pratique, il y a toujours de nouvelles subtilités à découvrir. Le tarot est un apprentissage infini.

Faut-il purifier ou consacrer ses cartes de tarot ?

Ce n'est pas une obligation, mais c'est une pratique courante. Certaines personnes aiment créer un rituel pour « marquer » leurs cartes comme leur outil personnel. Cela peut être aussi simple que de les tenir quelques minutes en silence avant la première utilisation, ou plus élaboré selon vos croyances personnelles.

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