La carte du Diable au tarot : l’histoire de la femme qui ne voyait pas que ses chaînes étaient ouvertes
La signification vraie de la carte du Diable au tarot : histoire d'une femme qui ne voyait pas que ses chaînes étaient ouvertes. Témoignage d'un voyant.
Pierre Lemestre
12/22/202515 min read


C'était un mardi soir de novembre. Il devait être vingt-deux heures. Je venais de terminer une consultation difficile, chargée d'émotions lourdes. J'étais fatigué. Vidé, même. Et comme je le fais parfois dans ces moments-là, j'ai décidé de me tirer les cartes à moi-même. Pas pour prédire l'avenir, mais pour comprendre ce que je ressentais.
J'ai mélangé mon tarot de Marseille — celui dont je parle dans mon article Le jour où j'ai vu le tarot de Marseille pour la première fois — et j'ai tiré une seule carte. L'arcane 15. Le Diable.
J'ai souri. Un sourire un peu amer. Bien sûr que c'était Le Diable. Cette carte qui fait peur à tout le monde, cette carte que mes consultantes redoutent tant quand elle apparaît dans leur tirage. Cette carte que je comprends peut-être mieux que les autres, parce que moi aussi, j'ai mes chaînes. Moi aussi, j'ai mes dépendances. Moi aussi, je connais le poids de la liberté illusoire.
Mais ce soir-là, en regardant la carte du Diable, j'ai remarqué un détail que je n'avais jamais vraiment vu avant. Un détail pourtant évident, pourtant là sous mes yeux depuis toujours : les deux personnages enchaînés au piédestal du Diable portent des chaînes facilement retirables. Il suffirait qu'ils lèvent les bras pour s'en libérer. Ils ne sont pas prisonniers du Diable. Ils sont prisonniers d'eux-mêmes.
Et c'est là que j'ai repensé à Caroline.
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La signification de la carte du Diable : ce que Caroline m'a appris sur les chaînes invisibles
Le symbolisme des chaînes facilement retirables : nous sommes nos propres geôliers
Caroline m'avait écrit six mois plus tôt. Une femme d'une quarantaine d'années, intelligente, sensible, cultivée. Elle était avec le même homme depuis huit ans. Huit ans d'une relation qui, au fil de ses emails, ressemblait de plus en plus à une lente asphyxie. Il la rabaissait. Il contrôlait ses sorties, ses amitiés, ses choix. Il n'était jamais violent physiquement, mais ses mots l'étaient. Et pourtant, elle restait.
"Je ne sais pas pourquoi je ne pars pas," m'écrivait-elle. "C'est comme si j'étais paralysée. Comme si quelque chose me retenait."
Nous avions convenu d'une consultation par tirage de tarot. Je lui ai demandé de se concentrer sur sa situation, sur ce qui la retenait dans cette relation. J'ai mélangé les cartes. J'ai tiré. L'arcane 15 est apparu. Le Diable.
Sa réaction a été immédiate, presque viscérale : "Oh non. Le Diable. C'est mauvais signe, n'est-ce pas ? Ça veut dire que ma relation est toxique, que je suis ensorcelée, que je dois fuir immédiatement ?"
J'ai pris le temps de respirer avant de lui répondre. Parce que oui, Le Diable du tarot parle de dépendance, de chaînes, de pulsions qui nous contrôlent. Mais il parle aussi, et surtout, d'autre chose. Quelque chose que personne ne dit jamais vraiment. Quelque chose que Caroline avait besoin d'entendre.
"Regardez bien la carte," lui ai-je écrit. "Vous voyez les deux personnages enchaînés au piédestal ? Regardez leurs chaînes. Elles sont larges, lâches. Elles pourraient les retirer d'un simple mouvement. Vous comprenez ce que ça signifie ?"
Il y a eu un long silence. Puis sa réponse est arrivée. Un seul mot d'abord : "Oh."
Ce que Caroline n'avait pas vu : la liberté était là depuis le début
Caroline venait de comprendre. La carte du Diable ne lui disait pas qu'elle était prisonnière de son compagnon. Elle lui disait qu'elle était prisonnière de sa propre peur. La peur de partir. La peur de se retrouver seule. La peur de l'inconnu. La peur de reconnaître qu'elle avait gaspillé huit ans de sa vie.
Les chaînes facilement retirables, c'est le message central de l'arcane 15. Nous ne sommes pas enchaînés par les autres, par les circonstances, par le destin. Nous sommes enchaînés par nos propres croyances, nos propres peurs, nos propres habitudes. Et le plus terrible, c'est que nous choisissons de rester enchaînés.
"Mais alors," m'a répondu Caroline quelques heures plus tard, "si je peux partir, pourquoi je ne pars pas ? Qu'est-ce qui me retient vraiment ?"
C'était la bonne question. La question que la carte du Diable pose toujours. Pas "De quoi suis-je prisonnier ?" mais "Pourquoi est-ce que je choisis de rester prisonnier ?"
Je lui ai expliqué ce que j'ai appris au fil des années en travaillant avec le tarot de Marseille — et si vous voulez comprendre la philosophie profonde de chaque arcane, je vous invite à lire mon guide complet sur Les 22 Arcanes Majeurs du Tarot. Le Diable ne juge pas. Il ne condamne pas. Il montre simplement la vérité : vous avez plus de pouvoir que vous ne le pensez. Vous êtes plus libre que vous ne le croyez. Mais pour le voir, il faut avoir le courage de regarder vos propres chaînes en face.
Six mois plus tard, Caroline m'a réécrit. Elle était partie. Elle avait quitté son compagnon, trouvé un nouvel appartement, recommencé sa vie. "Je pense à cette image des chaînes tous les jours," m'écrivait-elle. "Chaque fois que j'ai peur, je me rappelle : je peux lever les bras. Je peux retirer les chaînes. C'est moi qui décide."
Amour, travail, relations, décisions : si vous avez besoin d’éclairage, mes consultations de voyance sont là pour vous guider.
Le lien entre le Diable et l'Amoureux au tarot : quand le choix devient obsession
Quand l'arcane 15 révèle la dégradation du 6 : la numérologie qui change tout
Il y a quelque chose que très peu de gens savent sur la carte du Diable. Un lien caché, presque secret, qui relie cet arcane à un autre : L'Amoureux. C'est Marc qui me l'a fait comprendre, sans le savoir.
Marc m'a consulté au printemps dernier. Un homme de trente-cinq ans, cadre supérieur dans une grande entreprise, brillant, ambitieux. En apparence, il avait tout réussi : belle carrière, salaire confortable, reconnaissance professionnelle. Mais il était épuisé. Burn-out, dépression larvée, sentiment de vide absolu.
"Je ne comprends pas," m'écrivait-il. "J'ai choisi ce métier. J'ai choisi cette voie. C'était mon rêve. Pourquoi je me sens prisonnier de quelque chose que j'ai voulu ?"
J'ai tiré les cartes pour lui. L'arcane 15 est apparu. Le Diable. Encore lui.
Mais cette fois, j'ai remarqué quelque chose d'important. Quelque chose qui relie profondément la signification de la carte du Diable à une autre carte que je connais bien — et dont je parle dans mon article L'amoureux tarot et flammes jumelles : ce que cette carte ne signifie PAS. Une connexion numérologique fascinante.
L'arcane 15, Le Diable. 1 + 5 = 6. L'arcane 6 est L'Amoureux.
Vous comprenez ? Le Diable est la dégradation de L'Amoureux. C'est ce qui arrive quand un choix libre devient une obsession. Quand un désir sain se transforme en dépendance. Quand la liberté de choisir devient l'esclavage de ne plus pouvoir s'arrêter.
L'Amoureux, c'est le moment où on se tient à la croisée des chemins et où on choisit consciemment sa direction. Le Diable, c'est le moment où on réalise qu'on ne peut plus faire marche arrière, qu'on est allé trop loin sur ce chemin, qu'on est devenu prisonnier de son propre choix.
La pseudo-liberté qui enchaîne : l'histoire de Marc et sa prison dorée
"J'ai choisi cette carrière," m'a dit Marc lors de notre échange. "Je l'ai vraiment voulue. Personne ne m'a forcé. Alors pourquoi je me sens enchaîné ?"
Voilà toute la subtilité de l'arcane 15. Le Diable ne vous enchaîne pas contre votre volonté. Vous vous enchaînez de votre plein gré. Au début, c'est un choix. Puis ça devient une habitude. Puis une nécessité. Puis une addiction. Et un jour, vous ne savez plus qui vous êtes sans ces chaînes.
Marc avait choisi de travailler soixante-dix heures par semaine. Au début, c'était pour réussir, pour prouver sa valeur, pour gagner sa place. Mais maintenant, dix ans plus tard, il ne pouvait plus s'arrêter. Son identité entière était construite autour de son travail. Sans lui, qui était-il ? Rien. Un vide.
C'est ça, le message du Diable tarot. Il ne dit pas "Vous êtes une mauvaise personne" ou "Vous avez fait de mauvais choix". Il dit : "Regardez comment votre liberté initiale s'est transformée en prison. Regardez comment ce que vous avez choisi vous possède désormais."
Le Diable ne juge pas vos pulsions. Il ne condamne pas vos désirs. Il vous montre simplement le moment où vous avez cessé de les diriger et où eux ont commencé à vous diriger.
J'ai expliqué tout cela à Marc. Je lui ai montré que la signification de la carte du Diable dans son cas ne parlait pas de "mal" ou de "péché", mais de déséquilibre. Il avait transformé sa passion en obsession. Sa liberté de choisir en obligation de continuer. Son rêve en cauchemar.
"Mais alors, qu'est-ce que je fais ?" m'a-t-il demandé. "Je quitte tout ? Je démissionne ?"
"Non," lui ai-je répondu. "Vous regardez vos chaînes. Vous reconnaissez qu'elles sont là. Vous comprenez que vous les avez mises. Et ensuite, progressivement, vous apprenez à les desserrer. Pas d'un coup. Juste un peu. Juste assez pour respirer à nouveau."
La carte du Diable ne demande jamais une rupture brutale. Elle demande une prise de conscience. Et c'est déjà énorme.
Si vous voulez comprendre comment d'autres arcanes majeurs parlent aussi de nos combats intérieurs — comme La Papesse qui évoque l'intuition face aux pulsions, ou L'Empereur (IV) qui parle de contrôle — je vous invite à explorer ces cartes complémentaires.
Le côté positif de la carte du Diable : accepter sa part d'ombre sans jugement
Ce que mes propres pulsions m'ont appris sur la vraie liberté
Et puis il y a mon histoire. La mienne. Celle que je ne raconte pas souvent, parce qu'elle est inconfortable, parce qu'elle me met à nu, parce qu'elle montre que moi aussi, le voyant qui guide les autres, j'ai mes propres chaînes.
Ce soir-là, quand j'ai tiré Le Diable pour moi-même, je savais exactement de quoi il parlait. Ma propre dépendance. Mon propre mécanisme d'évitement. Cette chose que je fais quand je ne veux pas affronter quelque chose de difficile : je me plonge dans le travail. Dans les consultations. Dans l'aide aux autres.
C'est noble, n'est-ce pas ? Aider les autres. Être disponible. Être généreux de son temps et de son énergie. Sauf que pour moi, à ce moment-là, ce n'était plus de la générosité. C'était de la fuite. Je me noyais dans le travail pour ne pas avoir à affronter mes propres peurs, mes propres vulnérabilités, mes propres blessures.
Le Diable me montrait ça. Il ne me disait pas "Tu es mauvais" ou "Tu fais du mal". Il me disait : "Regarde comment tu utilises quelque chose de positif (aider les autres) pour éviter quelque chose de nécessaire (t'occuper de toi)."
Et c'est là toute la subtilité du côté positif de la carte du Diable. Oui, il y a un côté positif. Celui que personne ne mentionne jamais, parce que tout le monde a peur de cette carte, parce qu'elle a une réputation terrible dans l'imaginaire collectif.
Mais le Diable tarot ne parle pas du Mal avec un grand M. Il parle de vos pulsions. De votre part d'ombre. De vos désirs refoulés. De tout ce que vous ne voulez pas voir de vous-même. Et son message, au fond, est d'une bienveillance étonnante : vous avez le droit d'être humain.
Le conseil du Diable : être humain, pas parfait
Je me souviens m'être assis, ce soir-là, en regardant la carte. Et au lieu de ressentir de la honte ou de la culpabilité, j'ai ressenti quelque chose d'inattendu : du soulagement.
Oui, j'avais mes pulsions. Oui, j'avais mes mécanismes d'évitement. Oui, je me fuyais moi-même parfois. Et alors ? Est-ce que ça faisait de moi quelqu'un de mauvais ? Non. Ça faisait de moi quelqu'un d'humain.
La signification profonde de la carte du Diable, celle qu'on ne dit jamais dans les livres de tarot, c'est qu'il nous invite à accepter notre part d'ombre sans la juger. Pas pour s'y complaire. Pas pour s'y abandonner. Mais pour la reconnaître, la comprendre, et apprendre à vivre avec.
Vous avez des désirs qui vous font peur ? Normal. Vous avez des pensées que vous jugez "mauvaises" ? Humain. Vous avez des pulsions que vous essayez de réprimer ? Naturel.
Le Diable dit : "Arrêtez de vous battre contre vous-même. Regardez vos ombres. Elles ne disparaîtront pas juste parce que vous les niez. Mais si vous les regardez vraiment, si vous les acceptez sans jugement, alors vous pourrez commencer à choisir consciemment ce que vous en faites."
C'est ce que j'ai appris cette nuit-là. Mes chaînes n'étaient pas mon travail. Mes chaînes, c'était ma peur de ne pas travailler. Ma peur de m'arrêter. Ma peur de me retrouver face à moi-même dans le silence.
Et une fois que j'ai vu ça — vraiment vu, pas juste compris intellectuellement — j'ai pu commencer à desserrer ces chaînes. Pas en arrêtant de travailler. En apprenant à m'arrêter aussi. En acceptant que je puisse être fatigué, vulnérable, imparfait. En cessant d'utiliser l'aide aux autres comme bouclier contre moi-même.
Si vous explorez les autres arcanes majeurs du tarot — comme Le Mat (0) qui parle de lâcher-prise, ou Le Bateleur (I) qui évoque les nouveaux départs — vous verrez que chaque carte nous invite à une forme d'acceptation de nous-mêmes. Le Diable le fait juste de façon plus brutale, plus directe, plus inconfortable.
Mais c'est peut-être pour ça qu'il est si libérateur.
La carte du Diable en tirage : ce qu'elle essaie vraiment de vous dire
Les trois questions à se poser quand l'arcane 15 apparaît
Aujourd'hui, quand la carte du Diable apparaît dans un tirage — que ce soit pour moi ou pour mes consultantes — je ne la vois plus comme une carte négative. Je la vois comme une invitation. Une invitation à trois questions fondamentales :
1. "À quoi est-ce que je me sens enchaîné(e) en ce moment ?"
Pas "Qui m'a enchaîné", mais "À quoi". Une relation ? Un travail ? Une habitude ? Une croyance ? Une peur ? Une image de moi-même ? Le Diable tarot demande d'identifier clairement ce qui vous retient.
2. "Est-ce que ces chaînes sont vraiment aussi solides que je le crois ?"
Regardez bien. Comme les personnages sur la carte. Est-ce que vous êtes vraiment prisonnier, ou est-ce que vous choisissez de rester là parce que c'est connu, rassurant, familier ? Est-ce que vous pourriez lever les bras et retirer les chaînes si vous le décidiez vraiment ?
3. "Qu'est-ce que j'ai peur de perdre si je me libère ?"
C'est la question la plus difficile. Parce que souvent, nos chaînes nous protègent de quelque chose. Caroline avait peur de la solitude. Marc avait peur de perdre son identité. Moi, j'avais peur de me retrouver face à mes propres blessures.
Tant qu'on ne regarde pas cette peur en face, on ne peut pas vraiment se libérer.
Comment retirer vos chaînes progressivement : pas de recette miracle
Je ne vais pas vous mentir. Il n'y a pas de formule magique pour se libérer quand Le Diable apparaît. Pas de rituel, pas de méditation miracle, pas de tirage complémentaire qui va tout résoudre d'un coup.
Mais il y a un chemin. Un chemin lent, progressif, fait de petits gestes quotidiens.
Commencez par reconnaître vos chaînes. Nommez-les. "Je suis dépendant de l'approbation des autres." "Je ne peux pas m'empêcher de travailler trop." "J'ai peur de quitter cette relation même si elle me fait du mal."
Ensuite, regardez-les avec compassion. Pas avec jugement. Pas avec honte. Avec compassion. "Je comprends pourquoi j'ai créé ces chaînes. Elles m'ont protégé à un moment donné. Elles ont eu un sens."
Et enfin, commencez à les desserrer. Pas à les briser. Juste à les desserrer. Un tout petit peu. Juste assez pour respirer.
Si votre chaîne, c'est votre travail : prenez une heure pour vous cette semaine. Juste une.
Si c'est une relation toxique : osez dire "non" une fois. Juste une fois.
Si c'est une addiction : remplacez-la par quelque chose de doux, juste aujourd'hui. Juste aujourd'hui.
La liberté ne se conquiert pas d'un coup. Elle se construit doucement, jour après jour, geste après geste.
Et parfois, d'autres cartes du tarot viennent nous y aider. L'Impératrice nous rappelle la bienveillance envers nous-mêmes. L'Arcane sans nom (XIII) nous parle de transformation profonde. Chaque arcane a sa sagesse à offrir.
Mais Le Diable, lui, nous offre peut-être la sagesse la plus difficile à accepter : celle de notre propre responsabilité. Nous sommes nos propres geôliers. Et donc, potentiellement, nos propres libérateurs.
Aujourd'hui, je garde toujours la carte du Diable près de moi quand je travaille. Pas par superstition. Mais comme rappel. Rappel que je peux, à chaque instant, vérifier mes propres chaînes. Rappel que la liberté n'est jamais loin. Rappel que souvent, il suffirait de lever les bras.
Mais que c'est le geste le plus difficile du monde.
Et vous ? En ce moment, alors que vous lisez ces lignes, quelles sont vos chaînes facilement retirables ? Celles que vous pourriez défaire d'un geste, si seulement vous osiez ? Celles qui vous retiennent dans une vie qui n'est pas vraiment la vôtre ?
Peut-être que vous ne le savez pas encore. Peut-être que vous ne voulez pas le savoir. C'est OK. Le Diable ne presse personne. Il attend juste que vous soyez prêt à regarder.
Et quand vous serez prêt, je serai là.
Vous sentez que la carte du Diable a un message pour vous ?
Si vous voulez comprendre ce que vos propres chaînes essaient de vous dire, ou si vous avez besoin d'aide pour identifier ce qui vous retient vraiment, je vous accompagne avec douceur et sans jugement dans votre cheminement.
Questions fréquentes sur la carte du Diable
Que signifie la carte du Diable au tarot ?
La carte du Diable (arcane 15) représente nos dépendances, nos pulsions, et surtout notre capacité à nous enchaîner nous-mêmes. Le détail crucial est que les personnages portent des chaînes facilement retirables : nous sommes nos propres geôliers, et la liberté est souvent plus proche qu'on ne le croit.
Est-ce que Le Diable est une mauvaise carte au tarot ?
Non, Le Diable n'est pas une "mauvaise" carte. C'est une carte de prise de conscience. Elle montre nos zones d'ombre, nos mécanismes d'évitement, nos dépendances — mais sans jugement. Son message est : "Vous avez plus de pouvoir que vous ne le pensez pour vous libérer."
Quel est le lien entre Le Diable et L'Amoureux au tarot ?
L'arcane 15 (Le Diable) a une connexion numérologique avec l'arcane 6 (L'Amoureux) : 1+5=6. Le Diable représente la dégradation du choix libre en obsession. C'est ce qui arrive quand un désir sain se transforme en dépendance, quand la liberté de choisir devient l'esclavage de ne plus pouvoir s'arrêter.
Que faire quand la carte du Diable apparaît en tirage ?
Posez-vous trois questions : 1) À quoi suis-je enchaîné(e) ? 2) Ces chaînes sont-elles vraiment aussi solides que je le crois ? 3) Qu'est-ce que j'ai peur de perdre si je me libère ? Le Diable demande une prise de conscience, pas une action brutale.
Quelles sont les chaînes facilement retirables dans la carte du Diable ?
Sur la carte, les deux personnages portent des chaînes larges et lâches qu'ils pourraient retirer d'un simple geste. Ce détail symbolique signifie que nous avons souvent beaucoup plus de liberté que nous ne le pensons — mais nous choisissons de rester enchaînés par peur, habitude ou confort.
Le Diable tarot a-t-il un côté positif ?
Oui. Le côté positif de la carte du Diable est qu'elle nous invite à accepter notre part d'ombre, nos pulsions, nos désirs — sans les juger. Elle dit : "Vous avez le droit d'être humain, imparfait." Cette acceptation est le premier pas vers la vraie liberté.
Que symbolise l'arcane 15 dans le tarot de Marseille ?
L'arcane 15 symbolise le moment où nous prenons conscience de nos dépendances et de notre responsabilité dans notre propre enfermement. Il représente aussi nos pulsions refoulées, notre part d'ombre, et l'invitation à les regarder avec compassion plutôt qu'avec honte.
Comment se libérer de l'influence du Diable au tarot ?
Il n'y a pas de formule magique. La libération passe par : 1) Reconnaître vos chaînes et les nommer, 2) Les regarder avec compassion (pas jugement), 3) Les desserrer progressivement par petits gestes quotidiens. C'est un chemin lent mais profond.
Quelle est la différence entre Le Diable et d'autres arcanes sombres du tarot ?
Contrairement à d'autres arcanes qui parlent de transformation imposée, Le Diable parle d'auto-enfermement volontaire. Vous n'êtes pas victime d'une force extérieure — vous êtes prisonnier de vos propres choix. C'est plus responsabilisant, mais aussi plus libérateur.
Le Diable au tarot parle-t-il toujours de dépendance ?
Pas nécessairement. Il peut aussi parler de pulsions créatives refoulées, de désirs légitimes qu'on s'interdit, de liberté qu'on n'ose pas prendre par peur du jugement. Le Diable interroge toujours notre rapport à la liberté — qu'elle soit empêchée ou mal utilisée.
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